évolution

Pour ces dix ans, dont cinq ans d’absence, unnu, évolue,
ce structure pour que vous puissiez voir son cheminement.
Grace au nuage vous pourrez naviguer dans son histoire pour comprendre les changements permanents qui m'habitent.



12/10/2010

unnu 71 souvenirs 6 bleu



13.1
Premier orgasme.
Dans mes souvenirs, c’est le plus intense que j’ai eu.. Je ne le situe pas vraiment. J’avais un pyjama bleu foncé en coton peigné, doux, fin, il faisait chaud, trop chaud. Je rêvai, à des roulades, de ces rêves agréables, de bien être. Je me tournais et me retournais dans mon lit, coincé entre des draps trop bien bordés. A demi-endormi, à demi réveillé, j’ai senti une sensation puissante étreindre tout mon corps, j’étais bien, aux anges, mon bas ventre irradiait, j’ai mis ma main sur ma verge juste pour sentir une chaleur humide mouiller ma paume. Je me suis rendormi. C’est le matin, en me réveillant que j’ai vu les traces sèches qui ornait le devant de mon pyjama. Parce que je ne savais pas, parce que je ne m’y attendais pas, cette jouissance, cette révélation, c’est l’orgasme le plus intense que j’aurais.



12/07/2010

unnu 70 souvenirs 7 avec les mains



Mes premières masturbations
Après l’expérience impromptue de mon rêve humide, je trouvais une méthode pour rééditer cette expérience ô ! combien agréable. Je frottais mon pénis sur mon matelas par un travail des hanches. A cet age de grâce, la sensibilité exacerbée du gland permet d’éjaculé en quelques secondes sans irriter les tissus…
Ensuite ma main trouva mon sexe, raison pratique oblige.







unnu69 souvenirs 8 pubère


Maturité sexuelle
Je ne mets pas de date précise ou d’age, sur le moment de ma puberté.
Se sont des anecdotes qui cernent cet éveil.
Petit souvenir, nous étions en colonie en juillet, par paresse nous faisions pipi depuis le balcon de notre chambre, s’était devenu un rite du soir, nous nous alignions, la chambré de six et nous arrosions le champ qui se trouvait en dessous. Un soir je regardais le pénis de mon voisin et je n’ai pu m’empêcher de faire une réflexion sur sa taille. Un haussement d’épaule et un grommellement me remirent à ma place, du style hé ! Gamin.
La colonie de l’année suivante je me masturbais. Mais mon sexe n’avais pas de poil, ni un développement particulier, je m’en rappel car nous allions nous laver tout nu dans une rivière proche et j’avais remarqué que seul un de nous, avais des parties plus rouges que le reste du corps.
A la rentrée de ma deuxième quatrième mon voisin de classe m’avait regardé sous le nez pour détecter un léger duvet, et m’avait demandé si comme lui j’avais aussi de la moustache en bas Comme il avait un an de moins que moi intérieurement j’avais pensé que la nature commençait tôt avec lui.

Ce qui fait que je situe la période de mon début d’activité sexuelle, vers 13ans ½ environ.



12/06/2010

unnu 68 souvenirs 9 traces


14
Plus vite que mon ombre
C’est au début de mon activité sexuelle que je me suis le plus masturbé, très exactement, l’été de mes quatorze ans à la colonie en Lozère ou j’ai crépi l’intérieure de mon duvet de sperme plusieurs fois par nuit en frottant simplement mon sexe sur la toile de celui ci. Mon activité nocturne avait maculé l’intérieur de petits nuages, innocente époque ou l’on ne pense pas au sourire amusé de la mère au moment de la lessive.






12/05/2010

unnu 67 souvenirs 10 docteur

Gêne pédiatrique Ma sensibilité était grande je me rappel la gêne du pédiatre lorsque pour vérifier ma maturité sexuelle, voir si tout se passait bien il auscultait mes testicules ce qui me provoqua une érection immédiate et la rougeur du visage du médecin qui m’envoya, m’habiller illico-presto. Je le croisais quelques année plus tard, lorsque j’étais étudiant, à son regard, je sus qu’il me remettait.







11/24/2010

unnu 66 souvenirs 11 surpris

14/15
Ah la famille !!!!
Après la douche, j’avais enfilé mon peignoir, pour me sécher, et j’en profitais pour sécher ma verge avec application en me regardant dans la glace de la salle de bain, quand ma mère est rentrée pour ranger des serviettes propres dans le placard. Elle m’a juste dit « dépêche-toi, il y en a d’autre qui attende. » Bizarrement, j’étais très fier qu’elle me surprenne et qu’elle voit que maintenant j’étais un homme !




11/15/2010

unnu 65 souvenirs 12 géné

J’étais seul à la maison, je regardais la télévision, affalé sur le canapé, la braguette ouverte en me caressant le sexe, mon petit frère est rentré en trombe, je crois qu’il n’a pas compris ce que je faisais mais ça a été la débandade et le rougissement de honte instantané.



11/12/2010

unnu 63 souvenirs 13 ennui


années de grâce
Je me rappelle, au collège, je m’ennuyais ferme, à moitié endormie, dans un état de léthargie avancé, supportant des profs inefficaces, Mes pensées avaient le temps de vagabonder ailleurs, et à cet age le bain hormonal qui nous inonde tourne nos pensées vers la sexualité, cette excitation mentale me provoquait une semi-érection qui durait des heures d’affilées. Certain, jours ou j’enchaînais plusieurs enseignants soporifiques, j’en avais des douleurs au bas ventre et le devant de mon slip étais sillonné par des traces « de limaces » brillantes et limpides.
Douce époque ou un rien vous affriole !





11/11/2010

unnu 62 souvenirs 14 poitrine

des seins et des fraises C’était à la colonie en Normandie, deux frères, très machos, très dragueur, faisaient leurs premiers pas charnels avec la même copine. Elle s’amusait à passer de l’un à l’autre. Ils étaient tous les trois dans leur cocon de découverte, dans leur nirvana d’extases. Pour s’amuser un soir ou j’étais en train de m’endormir ils vinrent me demander à quoi j’allais rêver, et en rigolant très excité elle me montra sa poitrine, niais à souhait je lui ai répondu super gêné que je rêvais toujours aux fraises, ils partir plier en deux de rire leur coup avait réussi, triste domination, triste age ingrat .







11/01/2010

unnu 61 souvenirs 15 apprentissage manuel


14/18
Masturbation naturelle

Comme je l’ai déjà dis précédemment nous ne parlions jamais de sexualité en famille, ni en bien, ni en mal.
L’avantage c’est que j’ai vécu mes premières masturbations sans honte, naïvement, et que de ce fait j’en ai profité pleinement.
Après, mes frottements, j’ai pris l’habitude de me masturber tous les matins derrière la porte de mon armoire à linge en prenant mes sous-vêtements propres (Depuis le début de mes souvenirs, j’ai tout le temps changé de sous-vêtements tous les jours, hygiénisme oblige !)

C’est en rentrant en internat que j’ai changé mes habitudes. Parfois quand ça me démangeait trop je me soulageais dans les toilettes mais je n’aimais pas trop, toujours l’hygiène !!
C’est en rentrant les week-ends que j’avais pris l’habitude de prendre de grands bains trop chauds, très long, vraiment lascif ou j’essayais toute sorte de techniques, c’était très ludique, vraiment agréable. Après, j’ai vécu seul, mais c’est la fin de l’adolescence.